Suite à une erreur, notre héros décède précipitamment. Il parvient malgré tout à négocier un sursit : il a 100 jours pour trouver une personne de son âge qui devra mourir à sa place. Tuer pour survivre.
S'ensuit une introspection entre soulagement, culpabilité, désir de vivre, Mathias fait le bilan de sa courte vie.
Cette soif de vivre, se sursaut qui anime notre héros, ce sentiment d'inachevé, de ne pas avoir laissé sa trace.
Et la rencontre avec Jeanne cette petite bulle de bonheur.
Quelques longueurs dans ce récit, mais la lecture reste fluide et les personnages attachants.
Merci à l'auteur