Le récit poétique qui résume les récits de l’être. On y voit l’ouverture sans détour face aux vérités de l’être et de l’existence. On y voit son visage. On y voit ce qu’elle représente. On y voit des révélations écrites noir sur blanc sans tacher l’encre pour dissimuler les faits. On y voit une noyade à travers l’être. On y voit une plongée dans les pensées et les ressentiments de l’être. On y voit l’être ouvert à l’être.
...... L’ouverture face à l’être y est à grand pas et sans détour. Elle révèle qu'elle s’est plu à dresser poétiquement des encres de mots. L’être à, le besoin d’extérioriser ce qui ronge ses entrailles de maux incessants. Si ce n’est la voir se perdre à chaque instant. Paradoxalement parlant, elle perd une partie d’elle à chaque révélation. Puisqu’elle dénude, je suis sans pudeur. Et cela est vu comme de l’exploitation d’un autre ongle. Mais l’ongle a besoin d’être vu. Si ce n’est errer dans l’oublie, l’une des vérités de, je suis. L’écriture.