Auto-édition
Modéré
numérique
nombre de mots
note moyenne
chroniques
J’ai adoré Palmyre et Abaka . Je les trouve réellement complémentaires car ils s’apportent mutuellement ce qui leur manque . Je les ai trouvés vraiment bien travaillés et vraiment réalistes. On sent vraiment à quel point les événements qu’ils ont vécus les ont fait mûrir et évoluer. J’ai aussi beaucoup aimé les enfants mais j’ai eu le cœur brisé par ce qui leur arrive. J’ai trouvé ça injuste.En fait, je me suis vraiment attachée et j’aurais vraiment aimé rester plus longtemps en leur compagnie
L’atmosphère est vraiment sombre et violente par moment . Mais cela correspond vraiment à la perfection à l’histoire . L’environnement n’est jamais tout à fait sur malgré les apparences .
J’ai découvert une plume fluide et addictive. C’est tellement bien tourné que ça se lit tout seul . Malgré quelques petites fautes d’orthographe et quelques petites coquilles, je n’ai pas été gênée. L’histoire est vraiment un régal à lire .
J’ai trouvé cette histoire de vengeance très intéressante. Mais c’est aussi une belle histoire d’amitié que nous raconte l’autrice . Les événements montent en tension et ne nous laissent pas de répit. Et cette fin je ne l’aurais jamais vu venir . Mais je trouve ça excellent car ça promet une future suite qui devrait nous emmener à l’opposé .
J’ai été emportée par l’histoire , intriguée par les personnages et l’autrice a vraiment su m’emmener au fin fond de ces contrées lointaines . J’ai vraiment été complètement captivée .
J’ai trouvé que cette histoire est vraiment extrêmement bien construite et développée . L’évolution des personnages est dans la continuité des événements. Il n’y a pas de faux pas dans ce livre .
J’ai été bouleversée par ces personnages, attendrie par leur évolution. J’ai pleuré avec eux, rigolé avec eux et j’ai eu peur pour eux . La fin m’a littéralement rendue triste , je ne m’y attendais absolument pas . J’aurais tellement voulu que ça se termine autrement même si je suis persuadée que l’autrice saura en faire une suite extraordinaire.
Note finale