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chroniques
Le personnage de Didier est celui qui montre qu'on est capable de réussir lorsqu'on est au plus bas. Les membres de sa famille à part sa mère, on ne les voit tant que ça parler et voir comment ils gèrent le handicap de leur frère. Quant à sa tante et ses cousins, c'est presque le même cas de figure, hormis Clémentine et sa tante (quelle ingrate celle-la d'ailleurs !)
Grâce à l'humour, le récit est agréable à lire. Même chose pour la tournure du récit étant fluide par le quotidien de Didier et de son entourage. Les mots simples rendent le texte facile à lire.
Je n'ai rien à dire là-dessus. Tout est niquel !
On constate que l'auteure sait ce quoi elle parle en mettant le bon doigt dessus : accessibilité et inclusion. J'ai juste trouvé dommage de ne pas savoir l'issue de la compétition de basket en Italie. Je suis restée sur ma faim ! Je voulais le voir gagner, ce que je ne doute pas snif.
J'ai été directement baignée dans le bain du récit et dans l'esprit de Didier. On se mettait rapidement à sa place quand les autres personnages n'étaient pas tendres envers lui. On vivait également avec lui la naissance de son esprit de compétition. Vive Didier !
L'ensemble de l'intrigue suivait parfaitement son cours mais j'ai juste eu un peu de mal avec le changement radical de situation dans le sens où on ne voit plus du tout sa famille d'une page à l'autre. Hormis ce détail, j'ai trouvé que le récit prenait son bout de chemin dans un sens logique sans stagner.
Franchement, j'ai bien aimé le livre dans son intégralité. Je ressentais de l'émotion quand Didier jouait ses matchs de basket !
Note finale