Un voyageur qui part de son conté pour raconter à ses habitants ce qu'il y voit lors de ses voyages. Il décide de se rendre à Marsoville la ville dite AT pour savoir pourquoi est-ce qu'elle s'appelle donc ainsi. Il finit par arriver dans une auberge où il demande de quoi se sustenter et aussi pour demander sa route vers la ville dite AT afin de percer à jour son mystère sauf que surpris de la demande les deux aubergistes lui explique que c'est une ville qui a une mauvaise réputation, mais le voyageur souhaite tout de même y aller donc ils décident quand même de lui indiquer le chemin à suivre afin d'y arriver. A ce moment-là, le Voyageur ne sait pas que son parcours est semé d'embûches. Il tombe en premier sur un groupe de quatre hommes qui attaquent les diligences et les voyageurs, ce sont les frères Bousket et Herban. Le voyageur finit par voir Marsonville de loin mais voit deux soldats d'entre-tuer il va voir de plus près et ramasse le bout de carte, il en conclut que c'est pour cela qu'ils se battaient, ça amène vers le trésor que cache Marsoville. En découvrant la Ville dite AT il espère avoir plus de réponse et de surtout pourquoi elle s'appelle comme ça, il pose la question aux habitants mais eux même ne savent pas, il fait la rencontre d'un vieux monsieur dans la forêt, ce vieil homme décide de lui expliquer ce que signifie AT et pourquoi elle à été renommé ainsi. C'est à cause du roi de Roi-ville qui était jaloux de la prospérité de Marsoville et donc à décider de tout faire brûler afin qu'il n'est plus rien ni un seul survivant à cette tuerie et surtout qu'elle ne s'appelle plus la ville dite "A Tous" mais de laisser que les deux premier lettre "AT". A la fin de son récit, le vieil homme lui dit de retrouver Bertrand par rapport à la carte et au trésor de la ville dite AT. Les habitants de Marsoville décident de se révolter contre leur représentant car il savait l'histoire, le représentant fuit et balance ses habitants au roi, le roi en colère décide d'attaquer la ville, mais il finit par abandonner l'idée. Marsoville renaît de ses cendres et redevient ce qu'elle était, c'est-à-dire une ville prospère