36h, c’est le temps qu’il m’a fallu pour dévorer ce livre. Et pourtant, je suis loin de la lectrice passionnée qui engloutit six livres par mois ; je suis plutôt de celles qui lisent occasionnellement et sur plusieurs mois le même roman. Mais celui-ci a su faire renaître en moi une ardeur que je croyais éteinte, une envie incontrôlable de connaître la suite et d’avancer, de chapitres en chapitres.
Si j’ai été à ce point envoûtée par ce récit, c’est d’abord parce que sa narration m’a accrochée. Cette façon que l’autrice a d’introduire et de conclure chacun de ses chapitres avec des réflexions