Même si la mythologie gréco-romaine ne m’intéresse pas spécialement, j’étais curieuse de découvrir cette version avec un côté féministe.
Le consentement en tout acte et important et que les Dieux peuvent être à l’image des hommes, cruels, injuste mais également désespérés et sincère.
Cette réécriture nous le démontre par plusieurs aspects.
L’écriture est fluide, pas de longueur, suffisamment détaillée, le personnage d’Hadès nous apparaît comme quelqu’un qui s’est sacrifié pour ses frères et n’a rien eu en retour. Perséphone n’est pas faible dans ce récit. Le conte de Philomèle et Procné m’a