C’est la deuxième histoire que je lis de Lydia Brasington et sa plume est toujours aussi fluide et agréable avec une immersion totale dans le monde qu’elle a créée ! On retrouve ici Rune qui est une nécromancienne et se voit confier la même mission que sa mère morte assassinée. Lors de sa quête, elle croise la route d’un paladin habitué à vivre dans les pires souffrances qui a pour but de l’observer. L’histoire est un mélange d’amour impossible mais également d’enquête, on a notre lot de révélations tout au long de l’histoire et cela de façon proportionnée qui ne gâche de ce fait rien à la le

J'ai été contacté par l'auteur pour la réalisation d'une chronique sur son histoire, ce dont je tiens à le remercier infiniment car j'ai eu une agréable surprise en le lisant ! On se retrouve dès le début de l'histoire dans un petit village breton, Krymor, où, depuis quelque temps, des menhirs font leurs apparitions sans raison valable. Cela a pour effet de créer chez les habitants une montée d'angoisse et un ras le bol général, ceux-ci, dans la peur, se mettent en tête que tout ceci est de la faute de leurs nouveaux voisins : la famille Hinns. Ceux-ci finissent même par se faire agresser par

Partout la mort est un recueil de nouvelles sur le meilleur thème qui soit “La mort”. Choix très astucieux d’ailleurs car les nouvelles s’enchaînent bien, nous faisant rire par moment, réfléchir aussi à ce qu’on vit dans la vraie vie, l’auteur touche à toutes les époques, à toutes les thématiques ce qui est vraiment appréciable d’autant plus qu’on explore des thèmes divers et parfois sérieux. Comment la mort nous frappera-t-elle ? L’auteur s’amuse avec nous, tournant ses phrases pour nous perdre un instant, dissimulant des indices tout au long du récit avant qu’un éclair nous prend d’un coup e

Ce livre nous met face à un monde qui se reconstruit à la suite d’une forte épidémie “le Fléau” qui a décimé la majorité de la population. Cette reconstruction se fait sous la commande de l’Eglise où Dieu est au centre de tout. C’est effrayant de se rendre compte que c’est un monde qui pourrait arriver, on n’est jamais à l’abri d’un nouveau virus ou autre et d’une extinction de masse qui poussera une nouvelle autorité à reconstruire un monde “à sa manière” en sous entendant qu’ils font tout cela pour les survivants. Cependant, on se rend compte très vite que cela n’est pas le cas, les libertés

C’est la première lecture (et sûrement pas la dernière !!!) que je fais de cette autrice qui a accepté ma chronique, ce dont je la remercie infiniment ! On fait la rencontre d’une jeune femme, Eira qui était enfermée pendant de très longues années dans un sanatorium où elle y subit de actes de maltraitance depuis son arrivée qui nous sont dévoilées au fur et à mesure de notre lecture engendrant une haine à l’égard de leurs perpréteurs. Cependant, avec l’arrivée d’un vampire du nom de professeur Knight, que notre héroïne passera le plus clair de son temps à appeler Ren, Eira voit sa vie bouleve

Caïn est un petit jeune curieux et très avancé, apprenant très très vite que ce soit la lecture ou le monde qui l’entoure. Le point de vue reste assez enfantin comme si on explorait cet univers dans les yeux d’un petit enfant, ce qui nous donne encore plus de frissons lorsque l’on commence à comprendre dans quel univers nous avons atterri. En effet, dans les premières pages, nous suivons notre petit Caïn qui découvre les lieux où se trouve des animateurs aux petits soins et des pensionnaires, jeunes et semble-t-il, souffrants mais qui gardent leur joie de vivre, ce qui est très bien retranscri