Ce livre nous met face à un monde qui se reconstruit à la suite d’une forte épidémie “le Fléau” qui a décimé la majorité de la population. Cette reconstruction se fait sous la commande de l’Eglise où Dieu est au centre de tout. C’est effrayant de se rendre compte que c’est un monde qui pourrait arriver, on n’est jamais à l’abri d’un nouveau virus ou autre et d’une extinction de masse qui poussera une nouvelle autorité à reconstruire un monde “à sa manière” en sous entendant qu’ils font tout cela pour les survivants. Cependant, on se rend compte très vite que cela n’est pas le cas, les libertés

C’est la première lecture (et sûrement pas la dernière !!!) que je fais de cette autrice qui a accepté ma chronique, ce dont je la remercie infiniment ! On fait la rencontre d’une jeune femme, Eira qui était enfermée pendant de très longues années dans un sanatorium où elle y subit de actes de maltraitance depuis son arrivée qui nous sont dévoilées au fur et à mesure de notre lecture engendrant une haine à l’égard de leurs perpréteurs. Cependant, avec l’arrivée d’un vampire du nom de professeur Knight, que notre héroïne passera le plus clair de son temps à appeler Ren, Eira voit sa vie bouleve

Caïn est un petit jeune curieux et très avancé, apprenant très très vite que ce soit la lecture ou le monde qui l’entoure. Le point de vue reste assez enfantin comme si on explorait cet univers dans les yeux d’un petit enfant, ce qui nous donne encore plus de frissons lorsque l’on commence à comprendre dans quel univers nous avons atterri. En effet, dans les premières pages, nous suivons notre petit Caïn qui découvre les lieux où se trouve des animateurs aux petits soins et des pensionnaires, jeunes et semble-t-il, souffrants mais qui gardent leur joie de vivre, ce qui est très bien retranscri