Alma est l’Intense. Grâce à elle, le Cycle des Saisons perdure depuis des décennies. Cette année, sa convocation à la cour du Printemps se fait désirer. Elle est impatiente de pouvoir procéder au Rite magique qui annonce le changement de saison. Lorsque l’Émissaire du Printemps vient enfin la chercher, elle est enchantée. Ravie de retrouver le Seigneur Ciaran et leurs joutes verbales, elle ne se doute pas du danger qui guette. L’Hiver, rude, puissant, n’est pas prêt à laisser sa place. Jusqu'où ira la Dame de l’Hiver pour empêcher le Printemps de renaître de ses bourgeons ?

Une clope. Une dose. Deux glaçons et le reste d’eau… La vie n’est pas une fête, même quand on s’appelle Noël. J’ai goûté au bonheur. Il m’a cramé les ailes. La douleur, je connais trop bien. Alors, ce soir, j’ai décidé que c’était fini. Je ne veux plus souffrir. Ça fait trop longtemps que je me terre dans mon trois pièces, sans jamais rien dire.Une clope. Une dose. Deux glaçons et le reste d’eau… Je vais m’enquiller des godets jusqu’à plus soif. Je veux juste mourir. M’éteindre discrètement, sans fanfare ni tambour. Et je vois déjà ma vie défiler.

Épopée du deuil d'une enfance et d'une vie marquées au fer rouge par de rudes épreuves. C'est la poésie que j'ai choisie pour me libérer de mes chaînes. Entre douleur, séduction et renaissance, je vous laisse découvrir les blessures que ma saison favorite m'a laissées.

Avez-vous déjà regardé de plus près les petites clauses au bas du contrat de votre existence ? L'auteur de cet essai vous invite à sortir de la morosité ambiante pour retrouver les joies de l'insouciance. Le décodage de vos entraves limitantes vous offrira l'accès à l'optimisme permanent. La mise en situation dans les exercices proposés vous permettra de dupliquer les clés d'ouverture pour vivre et assumer pleinement votre insouciance retrouvée. Renouez avec la "divine insouciance" pour aller à la reconquête des rêves de votre enfant intérieur. « J'appelle de tous mes vœux pour que l'insouciance soit un jour l'ordonnance thérapeutique reconnue d'utilité publique. » – Marcel Sandras.

Grand lecteur, Axel a la joie de tomber sur le dernier exemplaire de Fantastiques Destinées, un roman qui attise sa curiosité. Un an plus tard, afin d’accéder à des cours de journalisme, il choisit d’enquêter sur l’autrice de ce livre : Alice Arnoult. Intéressées par son projet, ses amies Clémence et Lisa acceptent de l’aider. Au cours de leurs recherches, ils rencontrent les membres de l’Armée des Défenseurs de la Nature (l’ADN). Avec eux, ils participent à d’étonnantes actions environnementales sur des plages de la Loire-Atlantique. Mais ils sont loin de se douter qu’une opération écologique de plus grande envergure se prépare dans l’ombre…

Pour qui bat mon cœur ? Pour mon corps, dont il est le meilleur compagnon. Les malformations cardiaques de mes enfants m’ont amenée à vouloir réaliser une échographie poétique de cet organe. Prendre ses frappes au pied de la lettre, faire un électro-slam de ses battements. Mais mon cœur n’est pas une machine. Il palpite et accorde son tempo à mes émotions. Il relaie aussi mes intuitions. Un morse oublié, qui cligne et me fait signe, et que je n’aurai jamais fini de déchiffrer... A des moments de grâce, cette onde de pouls traverse les frontières : tous, nous ne faisons plus qu’un dans le cœur de la vie, qui bat de manière singulière, dans le cœur de chacun.

Arthur est un petit garçon en apparence comme les autres. Il est celui qu’on a tous déjà connu. Souvenez-vous de cet ami trop sage pour tenir tête aux adultes, ou bien de cette connaissance trop étrange pour être appréciée. Souvenez-vous de cet enfant dont la vie est un long fleuve tranquille et dont les misères sont semblables à chacun. Il n’a rien vécu de plus que les autres et pourtant… Souvenez-vous de lui, cet enfant invisible. À travers ses lettres, entrez dans l’univers particulier d’Arthur et découvrez ses pensées les plus sombres, ses réflexions les plus étonnantes, ses secrets les plus inavouables. Mais surtout, écoutez-le. Écoutez-le parler à sa mère. D’ailleurs, où est-elle, sa mère ?

C’est l’histoire d’une jalousie qui déboucha sur de la haine et d’une haine qui provoqua un drame. Tous savaient, mais tous se taisaient, car dans ce petit village vosgien, blotti au fond de la vallée de la Vologne, le passé est le passé et ce qui se passe dans la vallée ne doit pas en sortir. C’est l’histoire d’Elsa qui fut bannie de notre communauté. Pour nous, les enfants, elle était « La Sorcière », mais nos parents l’avaient surnommée « La Chapelière du Yang-Tsé ». Vingt-cinq ans sont passés. Pour l’adolescent que j’étais, Elsa était une énigme. Dix ans d’enquêtes m’ont transporté jusqu’à Shanghai et sur les rives du Yang-Tsé-Kiang. Je poursuivais une ombre. Qui était Jean, cet amoureux que personne n’avait vu ? Était-il un alibi, une illusion, ou avait-il existé ?

En région parisienne, William, Gautier, Bimarou et Théo sont trois copains de collège unis par une solide amitié et plusieurs points communs comme l’absence d’un père. Sujet au doute et à la désolation, William fuira chez son plus fidèle ami, Gautier, avec qui il passera des vacances d’été qui le changeront à jamais. Le roman illustre les compromis, les déceptions, mais aussi les espoirs, la beauté, et finalement la poésie d’une génération.

Ici, je n’ai pas cherché à être belle, ni à plaire. Ici, dans ces mots je n’ai rien corrigé. Ici, je n’ai rien relu. Ici, j’ai tout laissé. Tel quel. Au gré de la découverte de ma forêt. Et ça fait du bien. Ici, je suis moi-même, pleine de répétitions, d’erreurs, d’ennui, de fautes et de lourdeurs. C’est seulement ainsi que je rencontrerai l’Abominable qui vit dans la forêt. C’est seulement ainsi que je pourrai mourir. Et vivre pour de vrai. Pour ne pas vous perdre en chemin, je vous invite à me lire en suivant l’ordre des poèmes comme on avance en suivant les signaux de la vie. Pas à pas, sans connaître la suite. Bonne balade.