À travers cette autobiographie, Rachel B. vous livre ses douze premières années d’existence. Vous vous demanderez alors Comment une jeune femme peut-elle écrire sa propre histoire, à seulement 29 ans ? Ou bien encore Quelles expériences peuvent justifier l’écriture d’un premier tome ? Aujourd’hui en reconversion professionnelle, elle écrit depuis Orléans, à plus de 300 kilomètres de Nantes, son lieu de naissance. Elle commence par la rencontre de ses parents, sa naissance, puis celle de son frère. Elle vous prend par la main et vous emmène dans cette enfance, douce et brutale, lumineuse et sombre. Elle vous partage ses ressentis et relate les évènements marquants qu’elle a vécus. Et puis parfois, elle revient à vous, avec son regard d’adulte.
Après la mort accidentelle de son père, Évy, treize ans, doit partir au Bénin en compagnie de son oncle Simon qu’elle connait à peine et qui représente désormais à lui seul son unique famille. Entre la découverte de ce pays si cher au cœur de son père, le deuil et ses soucis d’adolescente, Évy va devoir faire confiance à Simon, cet oncle qui ne s’est jamais occupé que de lui-même. De rencontres en découvertes, bien loin de leur quotidien parisien, ces deux êtres vont devoir s’apprivoiser, se découvrir et tenter de reprendre ensemble goût à la vie.
Jean élève des chevaux en Équateur. Lorsque l’un de ses chevaux fait une rupture d’anévrisme, sa vie s’accélère en même temps que la nature se réveille : le volcan Cotopaxi entre en éruption. Il fait alors un voyage, en équilibre, sur le fil ténu de la ligne imaginaire de l’équateur. Mais fait-il vraiment ce voyage ou n’est-il que le jouet de son imagination, d’une vie intérieure provoquée par sa propre rupture ? Qui est Jean ? Où vit-il ? Présent, passé, futur se mêlent et nous font vivre une aventure humaine tendre et émouvante, entre réalité et rêve. On ne fait pas un voyage, un voyage nous fait. Le cou de la lune est un voyage.
Lumina est une planète abritant des peuples magiques regroupés en deux communautés, le Bien et le Mal. Malgré les dissensions, ils vivaient jusqu’alors en paix grâce à l’équilibre instauré par leurs précédents élus respectifs. Désormais, le Mal domine Lumina. Le Bien tente de résister, mais la situation presse. Dans ce contexte de révolte, Stéphane, un jeune lycéen, est enlevé lors d’une nuit sur Terre. Tous les espoirs d’une survivante de la communauté du Bien sont placés en lui. Désorienté, le jeune homme se retrouve au cœur d’un conflit qui s’envenime de jour en jour. Il doit explorer cette nouvelle planète pour y trouver des sources de pouvoirs et combattre la puissance maléfique. Son chemin commencera par la rencontre de nombreux esprits magiques. Stéphane a-t-il vraiment été choisi au hasard ? Que cachent réellement ces tensions ?
Pourquoi le lieutenant Harvey Nichols, de la police criminelle de San Francisco, à deux doigts de la retraite, se voit-il confier la mission de découvrir qui est le violeur qui sévit dans le nouveau métavers FaceLife, lui qui est avant tout un homme de terrain et qui n’y connaît rien à ces réseaux sociaux et nouvelles plateformes virtuelles ? C’est sûrement pour ça qu’on lui a foutu dans les pattes Shane Mac Milhan, une jeunette toute fraîche diplômée en cybercriminologie. Leurs visions du monde et façons d’enquêter semblent pourtant bien antagonistes. Comment vont-ils réussir à coopérer pour que lui, l’homme du vieux monde, et elle, la femme milléniale, mettent fin à ce qui est en train de devenir la plus grande vague de crimes de l’histoire de l’humanité ?
En 51 av. J.-C., un des quatre centurions choisis par le tribun de Jules César se distingua : Marcus vicomte de Pobiano (Lombardie). Celui-ci fut nommé centurion principile généralissime, puis tribun consulaire. Par ce titre, César lui donna le droit de diriger la région des Bellovaques (Oise d’aujourd’hui). Il soumit ainsi toute cette partie de la Gaule qui restait à conquérir, en créant de nouvelles constructions et fortifications en accord avec le chef des Bellovaques. Il chercha à intégrer les soldats restés sur ce territoire, et se lia avec les femmes gauloises. Ce qui engendra une nouvelle population gallo-romaine. Ce roman retrace cette partie de l’Histoire.
Je suis Hannah, une jeune femme plutôt fragile et réservée, bien installée dans une routine confortable et stable. Mais voilà, ce n’est pas vivre ! Chaque jour, je m’efforce de sortir de cette pénombre où je me suis enfermée, poussée par une petite voix dans ma tête qui me harcèle, plutôt extravertie et rigolote, quoiqu'un peu folle et qui me force à avancer. J'aimerais retrouver l'amour et enfin oser être heureuse. Entre peur et crise de doutes, vais-je avoir le cran de tirer un trait sur mon passé et enfin vivre ?
« Sè Diu vole » c’est l’histoire d’un adolescent corse à la fin des années 70. Élevé dans la nature au sein d’un petit village, féru de lecture, de musique, on le verra confronté tour à tour à la ville, aux travaux des champs, aux voyages, puis aux jeunes filles, et finalement à la tragédie. Ce livre qui se voulait un travail de mémoire est avant tout un chant d’amour filial, et peut-être une leçon d’espoir.
Dans un monde où les félins hybridés avec des plantes forment une civilisation dont la perpétuation est asurée par la polinisation, une personnalité puissante abuse d’une créature vulnérable. Pour fleurir, celle-ci ira trouver un arbre vénérable.
Cet ouvrage est un guide de compréhension des causes profondes des principaux maux de pied à travers les approches mécanique, énergétique et émotionnelle du corps. La première partie rend au pied son rôle de socle, la deuxième décode les motifs de consultation les plus fréquents en pédicurie et en podologie, la troisième explore le pied en mouvement avec la marche et la course. À chaque chapitre, des exercices simples aident à se connecter à son schéma corporel et ainsi à mieux s’ancrer pour avoir les pieds sur terre !