Que se passe-t-il après avoir perdu celui qui, par sa simple présence, nous faisait vivre ? Parce qu'on ne se demande pas souvent ce qui arrive après la mort pour ceux qui restent ici, présents, avec l'absence comme moteur vital. Ce recueil de poèmes appelle au recueil de soi-même, lorsque la perte d'un être cher nous fait perdre tous nos repères. Mélancoliques, tragiques, ces quelques vers explorent de manière crue les recoins à la fois sombres et lumineux du deuil, éprouvant au rythme de l'auteur.e les différentes phases de ce cheminement psychologique douloureux. D'une subtilité authentique, Éden nous partage l'envers du décor en poétisant la mort.

Ballotté comme beaucoup par les aléas de la vie, ses joies, ses peines, J’avais des hauts, j’avais des bas s’est nourri des thèmes universels de l’existence. Écrits au milieu de la cinquantaine, en vers comme en prose, ces poèmes et ces petits textes ont un ton poétique et une touche positive et spirituelle. Portés par l’amour, par la quête de la recherche du bonheur, parfois à deux, parfois nourrissant notre solitude, nous connaissons tous ces états qui nous accompagnent. La clé de notre bonheur nous échappe quelquefois, nous faisons de notre mieux, nous essayons d’être adroits. Évoluant sur le chemin, pas à pas, la lueur est bien là.

De personnages en contextes est à la fois une galerie de portraits divers et disparates, et un étalage de différents contextes. Sa rédaction a été animée par une volonté d’amuser, de surprendre, mais aussi de défouler ou de détendre, un tant soit peu… La seule prétention ici, s’il en existe une, est d’écrire pour décrire, de décrire pour écrire, dans la mesure de l’excès ou l’excès de la démesure, mais jamais autrement que pour découvrir et redécouvrir l’aventure littéraire avec la joie de créer, dans l’espoir secret, pour l’éternel apprenti auteur, d’être un jour lu par autrui…

Dans cette histoire, il est question d’enfants et de magie, d’une diversité de destins qui s’entrecroisent dans des maisons secrètes, édifiées sur les cinq continents et entièrement dédiées à l’épanouissement de leurs pouvoirs. Un terreau idéal pour apprendre sur soi et sur les autres, y cultiver sa curiosité, son insouciance, son imaginaire, son espièglerie, son impertinence. Tout commence toujours par une révélation et un accord. Pour découvrir cet extraordinaire monde parallèle, les enfants dont la magie est naissante doivent promettre de taire à jamais leurs pouvoirs aux humains. Les magiciens s’interdisent de se mêler de leurs affaires. Mais la sacro-sainte règle est soudainement remise en cause par de mystérieux individus prétextant sauver la planète Terre. Alors, êtes-vous prêts à être transportés dans les cinq maisons ?

Lumina est une planète abritant des peuples magiques regroupés en deux communautés, le Bien et le Mal. Malgré les dissensions, ils vivaient jusqu’alors en paix grâce à l’équilibre instauré par leurs précédents élus respectifs. Désormais, le Mal domine Lumina. Le Bien tente de résister, mais la situation presse. Dans ce contexte de révolte, Stéphane, un jeune lycéen, est enlevé lors d’une nuit sur Terre. Tous les espoirs d’une survivante de la communauté du Bien sont placés en lui. Désorienté, le jeune homme se retrouve au cœur d’un conflit qui s’envenime de jour en jour. Il doit explorer cette nouvelle planète pour y trouver des sources de pouvoirs et combattre la puissance maléfique. Son chemin commencera par la rencontre de nombreux esprits magiques. Stéphane a-t-il vraiment été choisi au hasard ? Que cachent réellement ces tensions ?

Lorsque Solo croise le chemin de Nelson, un ado de quinze ans plutôt extraverti, cela fait des étincelles. Solo est une petite fille de dix ans, étrange, murée dans son silence. Elle mène une vie de vagabondage en compagnie de Nina et d’une chatte sourde nommée Castagne. Toutes trois communiquent par la pensée. Pour la première fois, Nelson vient de rencontrer des gens comme lui : des télépathes. Pourtant, un danger mortel les menace. Ils vont devoir fuir et apprendre à vivre ensemble. Amitiés, amours naissantes, jalousies, apprentissages et mystères sont les ingrédients de ce premier volet d’une aventure où le fantastique s’insinue dans la vie ordinaire de ces Enfants perdus…

Pour le lieutenant Agathe Becker, une silhouette qui apparaît et disparaît comme un fantôme aux yeux de Mylène Lafont, bourgeoise languissante qui a la manie de se promener nue dans sa villa, relève d’une simple histoire de voyeur. Mais il y a le témoignage de Jack Christie ! L’auteur de polars a vu cette mystérieuse apparition. Et ce n’est pas un homme à raconter des histoires en dehors de ses romans. Aussi, l’instinct d’Agathe lui dit qu’il va se passer quelque chose dans l’entourage des Lafont où des secrets mal enfouis ne demandent qu’à ressurgir. Agathe enquête, à sa façon ! Et puis, il y a cet auteur ; elle qui aime tant la lecture !

Lumina est une planète abritant des peuples magiques regroupés en deux communautés, le Bien et le Mal. Malgré les dissensions, ils vivaient jusqu’alors en paix grâce à l’équilibre instauré par leurs précédents élus respectifs. Désormais, le Mal domine Lumina. Le Bien tente de résister, mais la situation presse. Dans ce contexte de révolte, Stéphane, un jeune lycéen, est enlevé lors d’une nuit sur Terre. Tous les espoirs d’une survivante de la communauté du Bien sont placés en lui. Désorienté, le jeune homme se retrouve au cœur d’un conflit qui s’envenime de jour en jour. Il doit explorer cette nouvelle planète pour y trouver des sources de pouvoirs et combattre la puissance maléfique. Son chemin commencera par la rencontre de nombreux esprits magiques. Stéphane a-t-il vraiment été choisi au hasard ? Que cachent réellement ces tensions ?

Lorsqu’on me demandait si mon premier livre, Poisson d’Avril, aurait une suite, j’affirmais que non. Mais puisque deux ans plus tard, à la même période, la vie décidait de me faire une autre de ses sales blagues, mon besoin d’écrire fut plus fort. Il était écrit que notre divorce n’aurait jamais lieu. Mon prince avait fini par me revenir. Il toussait un peu, rien de grave d’après les médecins. Nous n’allions pourtant pas cohabiter bien longtemps avec ce cancer dépisté trop tard. J’avais aussi signé pour cette éventualité : « Jusqu’à ce que la mort nous sépare. » Rien d’autre n’aurait pu le faire. Notre amour était plus fort que tout.

L’Émir Abdelkader, figure majeure de la résistance algérienne face à la colonisation française en 1830, et fondateur du premier État algérien moderne, sera d’une aide cruciale dans la protection des chrétiens de Damas lors du massacre de 1860. Le roman met en avant des personnages emblématiques, mais méconnus des livres d’histoire ; notamment le colonel français qui fut le geôlier de l’Émir durant ses quatre années de détention en France, Estève-Laurent Boissonnet, humaniste comme l’Émir, croyant fermement en une étroite collaboration entre Algériens et Français dans un contexte qui, jusqu’à plus d’un siècle plus tard, demeurera compliqué. Ce roman est aussi une fenêtre sur l’Algérie du XIXe siècle où chacun des personnages revivra son lot de souvenirs douloureux, mais aussi, parfois, de souvenirs plus heureux.