Les chats sont sages, mais n’est-ce pas tout simplement parce qu’ils ont des choses à dire, des leçons de sagesse à enseigner ? Fables félines est un recueil d’histoires destinées aux enfants de 7 à 9 ans et aux adultes qui souhaitent leur transmettre des valeurs comme le respect, l’honnêteté, la bienveillance, l’empathie, la tolérance... Toutes les histoires débutent par « Il était une fois » et dans chacune, une situation vécue par les félins développe, à la manière des Fables de la Fontaine, une petite morale finale. Comment Tom, un garçonnet, parviendra-t-il à redescendre d’un arbre sur lequel il a grimpé ? Comment Caramel parviendra-t-il à se faire accepter par les autres chats, méfiants de sa différence ? Comment Minouche retrouvera-t-il son chemin alors qu’il s’est perdu dans la forêt ? Tant d’autres « comment » entretiennent le suspense tout au long de ce livre, et les réponses se trouvent toujours dans la rencontre avec un personnage au cœur ouvert et à l’élan solidaire.

Ancien enquêteur chevronné de la SRPJ de Montpellier, le capitaine Michel Dutour est muté à Valenciennes, dont il est originaire. Il y mène la vie tranquille d’un fonctionnaire « plan-plan » et accepte les missions sans intérêt pour oublier la dernière affaire qu’il a eue à traiter quand il exerçait dans l’Hérault. Un matin, sa hiérarchie lui demande de se rendre chez une septuagénaire qu’on a retrouvée pendue à son domicile. Tout conduit à conclure au suicide, mais Michel Dutour réfute cette thèse, pourtant admise par tous, et décide de mener sa propre enquête. Il s’associe malgré lui à Clara Jeminski, la fille d’un ami d’enfance qui effectue un stage de master sous sa responsabilité. Les faux suicides se multiplient, mais le capitaine Dutour n'est plus le flic qu'il était et Clara a ses démons. Leurs histoires s'entremêlent et le passé ressurgit tandis qu’ils parcourent les paysages gris du nord de la France pour résoudre, ensemble mais séparément, une affaire qui n’en est pas une.

"La mort, la mort, la mort, toujours recommencée", chantait Georges Brassens en parodiant Paul Valéry et son Cimetière marin. Dans la Rome antique, mais aussi en Italie, le nombre dix-sept porte malheur. En effet, il s'écrit en latin XVII, dont l’anagramme VIXI (vixi) signifie « j'ai vécu », c’est-à-dire « je suis mort ». La mort est toujours. La mort est imprescriptible. La mort est partout. Il y a dix-sept syllabes dans un haïku. C'est aussi le nombre de nouvelles de ce recueil. Celles-ci ne parlent pas vraiment de la mort, mais elles la côtoient, la mettent en scène. Ce sont des histoires, presque des contes, des tranches de vie, des tranches de mort, des histoire à mourir debout. En lisant ce livre, vous serez l'enquêteur, celui qui doit trouver par où et qui la Mort va frapper.