23 avr. 2024
Alors il commence son texte. Quatre jeunes gens que la vie emporterait par-delà toute imagination. Dans un tumulte médiatique sans égal. Et les mènerait vers une destruction claire. Dies iræ, ou le cri de la colère, de la lutte, de la revendication. Du fond de l’abîme vers lequel, sans le savoir initialement, ils se lançaient à corps perdu. À coups de latte dans le ciel d’azur. Vers les tréfonds vivaces de ces sons violents qui forgeaient leur son, leurs chansons, leurs appels, ces concerts tout en énergie dans lesquels ils s’abandonnent, en toute nécessité. Et ce succès, cette reconnaissance d’un public qui viendra de plus en plus nombreux lors de ces grand-messes rock and roll. Lors desquelles ils finiront par se noyer, les menant vers un point de non-retour absolu. Que vive leur histoire désormais.