Les beaux mecs, un mythe, ce roman inspiré d’une histoire réelle, l’affaire UBC (« Un bruit qui court »), une affaire qui défraya les gazettes locales, voire étrangères, il y a quelques décennies. Le plus gros scandale de l’escroquerie aux franchisés avec la complicité d’une banque. Quelques années plus tôt, le protagoniste doté d’un look de play-boy, de beaucoup d’humour et d’un bon bagout, s’engage dans une histoire d’amour aussi passionnelle que destructrice avec le textile. « […] j’évolue dans l’univers des mauvais garçons, nommés les “beaux mecs”. Je me sens respecté dans ce monde où l’on flirte avec le grand banditisme. […] Les “beaux mecs”, c’est ainsi qu’on appelle les voyous connus du grand banditisme à Lyon. On les craint. »