"La mort, la mort, la mort, toujours recommencée", chantait Georges Brassens en parodiant Paul Valéry et son Cimetière marin.
Dans la Rome antique, mais aussi en Italie, le nombre dix-sept porte malheur. En effet, il s'écrit en latin XVII, dont l’anagramme VIXI (vixi) signifie « j'ai vécu », c’est-à-dire « je suis mort ».
La mort est toujours.
La mort est imprescriptible.
La mort est partout.
Il y a dix-sept syllabes dans un haïku. C'est aussi le nombre de nouvelles de ce recueil. Celles-ci ne parlent pas vraiment de la mort, mais elles la côtoient, la mettent en scène. Ce sont des histoires, presque des contes, des tranches de vie, des tranches de mort, des histoire à mourir debout.
En lisant ce livre, vous serez l'enquêteur, celui qui doit trouver par où et qui la Mort va frapper.