Je mets tellement mes problèmes de côté, garde mes larmes enfouies, si profondément en moi,
Que même lorsque je rêve de lâcher une simple larme pour me permettre d’extérioriser, ne serait-ce qu’une infime partie de ma douleur, rien ne vient,
Alors je reste là, à contempler ma peine qui finira par s’enfouir un peu plus profondément