Il me semble que Max Thareau puise son inspiration tant dans la Bible que dans l’univers de Tolkien ou celui de Lewis Carroll mais en mettant les trois au même niveau d’importance. Ainsi le lecteur croise au fil des pages des anges, des démons, des fées et des trolls, des ankoues mais aussi le Bon Dieu aka Yahvé Adonaï ou encore le Petit Jésus et la Vierge Marie. Il y est aussi question de karma, d’aura et de soucoupes volantes, de scribes et de lévitation, de voyage astral et de destin. On y croise Adam et Eve, le Diable et le jardin d’Ede mais aussi des extra-terrestres.
Le tout est trop fo